WHO PLAYS WHO ?

 


Cie Sandra Gaudin

Du 27 au 30 mars 2024                    
Me-je-ve 20h | sa 19h COMPLET

 


 

 

 

 

 


Librement inspiré de “A women of mystery” de John Cassavetes,  
des actrices et acteurs du projet

 

Conception, adaptation, mise en scène Sandra Gaudin assistanat Céline Goormaghtigh
interprétation Marthe Keller | Anne-Catherine Savoy | Christian Scheidt | Yann Philipona | Maria de la Paz | Céline Goormaghtigh | Arthur Noël musique Arthur Besson lumière Eric Soyer vidéo Francesco Cesalli son Bernard Amaudruz costumes Eléonore Cassaigneau Maquillage Sonia Geneux régie générale Eligio Membrez administration Hélène Cattin


production Compagnie Sandra Gaudin avec le soutien de Loterie Romande, Ville de Lausanne, la Fondation Ernst Göhner, la Fondation Leenaards, la Société coopérative Migros Vaud, SIS, la Fondation du Centre Patronal, les Fondations Associées, le Fonds culturel de la Société suisse des auteurs, la Fondation Michalski Création octobre 2023, Octogone – Pully

 

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Théâtre et cinéma interrogent le monde, s’offrent mutuellement des interprétations nouvelles, des formes pour réfléchir, des oeuvres pour modifier leurs visions. Who plays who? s’inspire de la dernière œuvre de John Cassavetes A Woman of Mystery (créée en 1987 à Los Angeles). Cette pièce aussi inspirante que drôle a été écrite avec et pour les comédiens de l’époque. Dans cette adaptation libre, les rôles sont retaillés en fonction des interprètes, inspirés par des destins en quête de sens et de regards. On assiste au déroulé de la vie d’une femme sans identité fixe, sans attache, ni conditionnement. Un voyage urbain et existentiel fait de rencontres hasardeuses et extravagantes qui vont percer peu à peu son mystère.

 

La pièce nous invite à entrer dans les possibilités et les choix de chacun face à un destin qu’on pourrait penser déterminé. A l’heure où l’Histoire du monde nous vandalise, nous laisse souvent impuissant, surgit le besoin urgent de proposer une piste possible qui ramène chacun à son propre pouvoir, à la possibilité de se créer une meilleure réalité. Entre fiction et réalité nous naviguons dans une ambiance aussi jouissive que vertigineuse, comme l’évoque les films de Cassavetes.