Spectacles saison 2011-2012

Opus incertum

Textes Geneviève Guhl - Claire Haenni
Titres d’articles de journaux composés par Natacha Jaquerod
ainsi que les listes de 6 invités : Clarence Stiernet | Manon Pulver | Thomas Laubacher | Michèle Pralong | Ambroise Héritier | Ilil Land-Boss

Du 23 au 27 novembre 2011
Je 19 h, me-ve-sa 20 h, di 17 h 30
Théâtre – Création –Eglise Sainte-Claire

Par l’ascenseur à poissons | cie

Coproduction ascenseur à poissons cie | Petithéâtre de Sion | ABC La Chaux-de-Fonds | Oriental Vevey | Parfumerie Genève. www.ascenseurapoissons.ch

Avec le soutien de la Ville de Sion | de l’Etat du Valais | Action intermittents | la Loterie Romande | la Ville de Genève | l’Etat de Genève et la Migros. Remerciements au théâtre de la Parfumerie à Genève | à Yvette Théraulaz | Jean-Bernard Gilloz | Eliane Beytrison | Françoise et Jean-Charles Haenni | Dominique Favre-Bulle.

Organismes soutenant Oriental-Vevey

   
 
 
 

"" Conception - Mise en scène : Geneviève Guhl

Jeu :
"" Nathalie Boulin
"" Nathalie Cuenet
"" Ilil Land-Boss


"" Collaboration artistique :
Claire Haenni
"" Administration :
Beatrice Cazorla & Claudine Mayoraz
""Scénographie :
Natacha Jaquerod
""Costumes :
Florence Magni
""Lumière : Jonathan O’Hear
""Collaboration technique : José-Manuel Ruiz
"" Entrainement physique :
Souphiène Amiar
"" Enregistrement de la bande son : David Scrufari
"" Presse & diffusion pour la Suisse : Claire Felix
"" Diffusion pour la France : Garance Crouillère
"" Photographie : Michaël Abbet
   
 

Le spectacle :

Nous flottons entre le brut et le stylisé, le sauvage, le civilisé. Ci-gît leur frontière. Le désir d’étreindre, par le minimal, la totalité d’une présence.

Désir qui sait sa défaite, et pourtant avance, dans sa robe parée de déchirures, de blancs, de silences, de jours, d’interstices. Virgile Elias Gehrig

Notes de travail à l’écoute des cours de Gilles Deleuze qui nous ont accompagnés tout au long de cette création : La peinture et la questions des concepts

Peindre ça implique une espèce de catastrophe sur la toile pour se défaire de tout ce qui précède, de tout ce qui pèse sur le tableau avant même que le tableau soit commencé.

Il y a toujours un moment dans la peinture, ou un aspect dans un tableau, où la main et l’oeil s’affrontent comme des ennemis.

La main en a assez de suivre l’oeil. Elle a son grand moment d’indépendance. (…) Au lieu que la main suive l’oeil, la main comme une gifle, va s’imposer à l’oeil. Elle va faire violence à l’oeil, l’oeil aura du mal à suivre le diagramme.

   
 

Bande-annonce du spectacle :

   
  Quelques reflets des répétitions
 



(c) Martin Reeve