Kafka sur le rivage
d’après Haruki Murakami adapté à la scène par Frank Galati
Traduction française : Corinne Atlan

Du 4 au 8 novembre 2009 | je 19h | me-ve-sa 20h | di 17h30

Salle del Castillo, Grande Place 1,1800 Vevey

Par L’outil de la ressemblance

Une coproduction L’Outil de la ressemblance | Théâtre du Passage | Théâtre Populaire Romand | Oriental-Vevey

Ce spectacle est soutenu par: la Société coopérative Migros Vaud, Ernst Göhner Stiftung, la Loterie romande, la Ville de Neuchâtel, le Canton de Neuchâtel, la Ville de la Chaux-de-Fonds, CORODIS, la Fondation culturelle de la Banque Cantonale Neuchâteloise, le Pour-cent culturel Migros, SIS – Fondation Suisse des Artistes Interprètes ou Exécutants.

Organismes soutenant Oriental-Vevey

Mise en scène : Robert Sandoz

Interprétation :
Johanne Kneubühler
Laurence Iseli
Geoffrey Carey
Olivier Gabus
Thomas Matalou
Patrice De Montmollin
Raymond Pouchon

Création musicale et sonore: Olivier Gabus
Scénographie: Nicole Grédy
Lumière et vidéo: Stéphane Gattoni
Costumes: Anne-Laure Futin
Administration: Joséphine Affolter
Assistantà la mise en scène: Vincent Held
Réalisation des films: Bastien Bron
Construction du décor: Valère Girardin
Régie plateau: Laure Fallet
Photographies: Guillaume Perret
Graphisme de la compagnie: Joanne Matthey

Le spectacle :

Kafka Tamura, quinze ans, fuit sa maison de Tokyo pour échapper à la terrible prophétie que son père a prononcée contre lui. Nakata, vieil homme simple d’esprit mais qui peut parler aux chats, décide lui aussi de prendre la route, obéissant à un appel impérieux, une force qui le dépasse. Lancés dans une vaste odyssée, nos deux héros vont croiser en chemin des hommes et des chats, une mère fantomatique et une prostituée férue de Hegel, des soldats perdus et un colonel de fast-food, un camionneur et un bibliothécaire, des poissons tombant du ciel, avant de voir leur destin converger inexorablement et de découvrir leur propre vérité.

«Raconter une histoire. Une histoire nouvelle, abattant tout ce qui est convenu, voilà pourquoi je fais du théâtre. «Kafka sur le rivage» m’a fait rire, m’a ému et a remis en cause ma logique occidentale. J’ai forcément eu envie de partager cet univers où l’imaginaire devient tangible, où l’invisible qui nous entoure s’incarne sans se prendre pour un dieu.» Robert Sandoz